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FAITES INTERNES 1:CONTINUATION 279

7 Avril 2016 , Rédigé par docciancimino Publié dans #Immagine, #Senza categoria

7 APRILE 2016:UKRANIA,LA NUOVA ERA SI FA RISPETTARE IN EUROPA

-SU LE MONDE:

Pays-Bas : référendum à haut risque sur l’Union européenne

Le Monde | 05.04.2016 à 11h44,Mis à jour le 06.04.2016 à 11h21 | Par Jean-Pierre Stroobants (Amsterdam, envoyé spécial)

Geert Wilders, du Parti pour la liberté (PVV), formation d’extrême droite, ici le 18 mars 2016, appelle à voter "contre" l'accord entre l'Ukraine et l'UE.
Cela ressemblait un peu à une farce, c’est devenu un problème pour l’Union européenne (UE), voire « un risque à l’échelle continentale », à en croire Jean-Claude Juncker, le président de la Commission de Bruxelles. Le référendum auquel sont conviés les Néerlandais, mercredi 6 avril, vise, pour ses initiateurs, à rejeter le projet de traité d’association entre l’UE et l’Ukraine. Mais il prend de plus en plus la forme d’une consultation sur le bilan du gouvernement du premier ministre libéral Mark Rutte et sur la légitimité de l’UE, avec le soutien de l’extrême droite et de la gauche radicale.

L’accord d’association entre Bruxelles et Kiev est entré en vigueur au 1er janvier 2015 pour son volet politique, et un an plus tard concernant le volet commercial. Sa ratification par les vingt-huit Etats devait être une formalité. Jusqu’à ce qu’une étrange coalition néerlandaise mêlant des intellectuels, des citoyens inquiets du pouvoir de Bruxelles et des mouvements populistes obtienne, à la fin 2015, plus que les 300 000 signatures nécessaires pour l’organisation d’une consultation populaire – ils en ont rassemblé 428 000.

Les membres du site Internet GeenStijl (« pas de style »), à l’origine du projet, affirment vouloir « tirer le signal d’alarme et canaliser le mécontentement d’une population inquiète de la mégalomanie des dirigeants européens ». Le Comité de citoyens UE et le Forum pour la démocratie critiquent la mise en place d’un « super Etat » européen qui priverait les citoyens de leur droit d’expression. Le juriste Thierry Baudet, animateur du Forum, dénonce un régime ukrainien corrompu et une Europe qui, dit-il au Monde, a échoué au plan politique et devrait renoncer à « l’optimisme naïf » des frontières ouvertes et de l’euro.

Lire aussi :   Les Pays-Bas vont-ils organiser un référendum sur le soutien à l’Ukraine ?

« Collaboration entre voisins »

Plusieurs partis politiques ont rallié le camp du « contre la loi d’approbation du traité d’association entre l’Union européenne et l’Ukraine » : la gauche radicale (SP), le Parti des animaux et, surtout, le Parti pour la liberté (PVV), la formation d’extrême droite de Geert Wilders. Ce partisan d’un retrait des Pays-Bas de l’UE et de l’euro caracole depuis des mois en tête des sondages, totalisant, selon ces enquêtes d’opinion, plus de sièges que les deux partis au pouvoir (libéraux et sociaux-démocrates). M. Wilders a jeté tout son poids dans la bataille du référendum. « C’est une chance, pour les Pays-Bas, de se faire entendre ; une voix contre le traité avec l’Ukraine, c’est aussi une voix contre [le premier ministre] Mark Rutte et contre l’élite bruxelloise », expliquait-il à Dordrecht, le 2 avril, lors d’une distribution de tracts qui a tourné au pugilat.

« C’est une chance, pour les Pays-Bas, de se faire entendre ; une voix contre le traité avec l’Ukraine, c’est aussi une voix contre Mark Rutte et contre l’élite bruxelloise »

M. Rutte et son gouvernement ont d’abord tenté d’éviter de focaliser l’attention sur ce référendum censé n’avoir qu’une portée consultative. Le premier ministre tablait sur le fait qu’il serait sans doute difficile, pour ses protagonistes, d’atteindre 30 % de participation, le seuil pour une éventuelle prise en compte du résultat. Dans un deuxième temps, il a engagé ses concitoyens à se rendre aux urnes et à voter « pour » à la question posée.

M. Rutte met en avant les retombées économiques de ce traité, qui devrait bénéficier aux 250 entreprises néerlandaises déjà actives en Ukraine, où elles exportent annuellement pour 800 millions d’euros. Son ministre des affaires étrangères, le socialiste Bert Koenders, y voit lui aussi un atout pour la croissance, mais surtout « le moyen d’assurer la stabilité dans l’environnement immédiat de l’Union ». Et puis, ce traité, ce n’est « ni des fiançailles, ni un mariage, mais une collaboration entre voisins », a expliqué le ministre dans un quotidien.

Si les sondages publiés au cours des dernières semaines ont livré des résultats flous, voire contradictoires, ils semblent indiquer que le seuil de 30 % de Néerlandais se rendant aux urnes serait largement dépassé : 49 % selon une enquête publiée le 25 mars et réalisée à la demande du ministère des affaires étrangères. La mobilisation concernerait surtout les partisans du « pour ». Le résultat final semble toutefois très incertain, la moitié des personnes qui affirment vouloir voter n’ayant pas encore déterminé leur vote. Au début du mois de mars, un sondage du journal de Volkskrant évoquait une majorité de 57 % contre le traité.

Peurs d’une arrivée d’Ukrainiens

Le traité – un document de 323 pages – est semblable à ceux que l’Union a signés avec une série de pays, candidats à l’adhésion (la Turquie, l’Albanie, la Serbie), ou sortis, comme l’Ukraine, de l’orbite de l’ex-URSS (la Géorgie et la Moldavie), ou encore plus lointains (le Maroc, le Chili). Il comporte essentiellement un volet commercial, visant à créer une zone de libre-échange avec l’Ukraine, mais aussi un chapitre politique, avec l’évocation d’un « contrat d’association » qui, selon les opposants néerlandais au texte, ne préfigure rien d’autre qu’une adhésion, à terme, à l’UE.

Les protagonistes du référendum agitent, par ailleurs, la menace d’une arrivée massive d’Ukrainiens aux Pays-Bas avec une libéralisation des visas. Ils dénoncent la corruption, la criminalité et la traite des êtres humains dans ce pays déjà amputé d’une partie de son territoire et qui, disent-ils, risque de replonger dans la guerre s’il se rapproche trop de l’UE. Enfin, soulignent-ils, l’affaire du missile tiré sur un Boeing MH-17 de la Malaysia Airlines, abattu en juillet 2014 dans la région de Donetsk, faisant 283 morts – dont de nombreux Néerlandais – n’est pas élucidée. Et il n’est pas exclu que le missile Buk qui a touché l’appareil ait été tiré par l’armée ukrainienne, soulignent-ils, bien que l’enquête ait conclu que le missile, de fabrication russe, avait été tiré depuis une zone tenue par les séparatistes pro-Moscou.

Lire aussi :   Crash du MH17 : un rapport de journalistes d’investigation remis à la justice néerlandaise

Que fera le gouvernement en cas de victoire du « contre » ? « Nous examinerons attentivement la question », élude un porte-parole. L’affaire est, il est vrai, embarrassante pour un pays qui exerce actuellement la présidence semestrielle de l’Union. « Nous ne pourrions pas, en tout cas, nous asseoir sur un tel résultat », commente anonymement un député de la majorité. Qui évoque, en cas de victoire du non, la possibilité d’une « clause de retrait » (opt-out) pour son pays. Ou la nécessité de rechercher une solution au niveau du Conseil européen.

 Jean-Pierre Stroobants (Amsterdam, envoyé spécial) Journaliste au Monde Suivre Aller sur la page de ce journaliste

http:/lemonde.fr/europe/article/2016/04/05/pays-bas-referendum-a-haut-risque-sur-l-union-europeenne_4896023_3214.html
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 REAZIONE:PAROLE CHIAVI(TAGS):
-MEGALOMANIA DEI DIRIGENTI EUROPEI
-DIRITTO DI ESPRESSIONE(LA CONSULTAZIONE E' STATA COVOCATA DAI NUOVI MEZZI)
-EUROSCETTICISMO:OTTIMISMO NAIF SU LE FRONTIERE APERTE E L'EURO
-CONTRO GLI ELITTI DI BRUXELLES(VERBIGRAZIA,CONTRO IL NEOLIBERALISMO)
-COLLABORAZIONE(ECONOMICA E LIBERO SCAMBIO)FRA VICINI?:NO,ADESIONE,CORRUZIONE,CRIMINALITA,TRATTA DI ESSERE UMANI E GOLPISMO.INSOMMA:"CALCIO E- FAGGIOLI",MEGALOMANIA SOLTANTO.
-MH-17 DI MALASYA AIRLINES COLPITO DALL'ARMATA UKRANIANA

INSOMMA QUESTI CONCETTI SONO LA PREDICA DELLA NUOVA ERA E L'EUROPA NON CI HA LASCIATI SOLI:SI ALLA DEMOCRAZIA,NO AL GOLPISMO IN EUROPA,SI ALLA NUOVA ERA, NO AL  NEOLIBERALISMO.

-APPENDICE1.

Nelle notizie,GOOGLE:

Panama papers, la classe calcisitica va in paradiso off-shore. Da Messi a Platini fino a Boca e Manchester

LANOTIZIA
giornale.it - 1 giorno fa

Ecco i nomi degli sportivi che spuntano dai "Panama papers". Da Messi a Platini.

“Panama Papers”: dalle carte dell'inchiesta, dopo Platini, spunta anche il nome del neo presidente della Fifa Infantino

Il Sole 24 Ore - 1 giorno fa

Panama Papers, anche l'ex milanista Clarence Seedorf nelle carte oltre a Inter, Platini e Messi - Sfoglio - Libero ...

Libero - 2 giorni fa

Altre notizie su PLATINI,PANAMA PAPERS

REAZIONE:PLATINI HA APOGGIATO SIN DALL'INIZIO IL GOLPISMO UKRANIANO E AVEVA PROMESSO.............SOLDI E FAGGIOLI.
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-APPENDICE 2:
I Panama papers potrebbero far cadere Poroshenko: pronta ...
w.lantidiplomatico.it/dettnews.php?idx=82&pg=15110

1 giorno fa - I Panama papers potrebbero far cadere Poroshenko: pronta la ... Le parole che potrebbero mettere in seria difficoltà il presidente ucraino Petro Poroshenko portano in calce la firma di Yulia .... Gli Usa hanno finanziato lo scandalo dei Panama Papers, che ha ... DI PETER DOLACK - counterpunch.org Sei.

APPENDICE :IL GIORNO DOPO
VITTORIA
-SU LE MONDE:
Pays-Bas : victoire du non mais faible participation au référendum sur l’Ukraine

Le Monde.fr avec AFP | 07.04.2016 à 01h25,Mis à jour le 07.04.2016 à 05h22

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image: http:/s2.lemde.fr/image/2016/04/07/534x0/4897320_6_f024_geert-wilders-leader-du-parti-pour-la-liberte_493bdf532fe85c1dbb2dedea32a770fd.jpg

 

Geert Wilders, leader du Parti pour la liberté (PVV), formation d’extrême droite, votait à La Haye, le 6 avril.

Les électeurs néerlandais ont dit non à 61,1 %, mercredi 6 avril, à l’accord d’association entre l’Ukraine et l’Union européenne (UE) lors d’un référendum convoqué par des groupes eurosceptiques, selon des sondages à la sortie des bureaux de vote. Le taux de participation s’élèverait finalement à 32,2 %. Des estimations initiales le plaçaient sous les 30 %, ce qui l’aurait invalidé.

Le référendum – dont les organisateurs admettent qu’il ne concerne pas l’Ukraine mais répond à une animosité plus large envers l’UE – était suivi de près par les Européens, Kiev et Moscou. Les résultats seront aussi examinés à la loupe au Royaume-Uni, quelques mois avant le vote de juin sur une sortie de l’UE, surnommée « Brexit ».

« Il semble que les Néerlandais ont dit non à l’élite européenne et non au traité avec l’Ukraine. C’est le début de la fin de l’UE », a réagi le député d’extrême-droite Geert Wilders, qui avait activement mené campagne pour le camp du non.

Ce référendum est le fruit d’une initiative populaire rendue possible par la loi depuis 2015. Des groupes eurosceptiques sont à l’origine de la pétition qui a réuni suffisamment de signatures pour contraindre le gouvernement à organiser cette consultation.

Lire aussi :   Pays-Bas : référendum à haut risque sur l’Union européenne

Vote consultatif

Le premier ministre libéral, Mark Rutte, qui a voté dans une école primaire de La Haye, avait appelé dans la journée ses concitoyens à approuver l’accord, qui vise à renforcer le dialogue politique ainsi que les échanges économiques et commerciaux entre l’UE et l’Ukraine. « Nous devons aider l’Ukraine à bâtir un Etat de droit, à construire sa démocratie, à soutenir ses minorités, notamment les juifs, et la communauté homosexuelle, a-t-il lancé. L’Europe a besoin de stabilité à ses frontières extérieures. »

Les Pays-Bas sont le dernier pays de l’UE à ne pas avoir ratifié l’accord, qui a cependant reçu le feu vert du Parlement. Le vote de mercredi n’est pas contraignant mais un non « pourrait ouvrir la voie à une crise européenne », avait prévenu le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Avec cette victoire du non, le gouvernement pourrait ainsi être dans l’embarras, affirment les analystes, les Pays-Bas assurant la présidence tournante de l’UE jusque fin juin. Et à un moment où les partis eurosceptiques sont en tête des sondages pour les législatives de 2017 dans ce pays, l’accord devra de nouveau être soumis au vote des deux chambres du Parlement.

Lire aussi :   Pays-Bas : référendum à haut risque sur l’Union européenne

En savoir plus sur

http:/lemonde.fr/europe/article/2016/04/07/pays-bas-victoire-du-non-mais-faible-participation-au-referendum-sur-l-ukraine_4897321_3214.html

REAZIONE:VITTORIA "TOUT COURT" ALTRO CHE......

EPILOGO:EUROSCETTICISMO?E DI COSA CI STUPIAMO?SIN DAI PRIMI TEMPI DELL'UE CHE HO INIZIATO LA MIA PREDICA IN QUESTE PAGINE IL POPOLO EUROPEO NON HA MAI MANCATO DI DARCI SOSTEGNO,DA QUEL LONTANO VOTO PER SANCIRE UNA COSTITUZIONE CHE LE MASSE NON HANNO MAI VOLUTO,FINO ALL'ODIERNO VOTO DELLA AfD TEDESCA E QUESTO REFERENDUM DEL BENELUX. MA LE "CUPOLE" HANNO SOSTITUITO LA VOLONTA POPOLARE  CON "ACCORDI" FATTI FRA GALLI E MEZZE NOTTI IN DUBBIOSI CONCILIAVOLI.NO,A ECCEZIONE DI CERTO EUROSCETTICISMO SELVAGGIO DI QUALCHE DESTRA RADICALE ESTRANEA ALLA IDIOSINCRAZIA EUROPEA,LA COSI DETTA ULTRA DESTRA,L'EUROPA NON HA MAI SMESSO DI DARE SOSTEGNO ALLA NUOVA ERA E QUESTA PREDICA.

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7 APRILE 2016:RENZI NELLE PANAMA PAPERS

-TITOLARE GOOGLE:

"A Panama anche società vicine a Renzi". Spuntano Inter e ...
w.affaritaliani.it/.../a-panama-anche-societa-vicine-a-renzi-spuntano-i...

2 giorni fa - Ci sarebbero anche l'Inter e una società di Finmeccanica tra i soggetti italiani coinvolti nello scandalo "Panama Papers". I loro nomi, come .

-LA NOTA COMPLETA:

Fondatore e direttore Angelo Maria Perrino
Martedì, 5 aprile 2016 - 17:50:00
Panama Papers, spunta Marine Le Pen. Si dimette il premier islandese

Panama Papers, nelle liste spunta il cerchio di fedelissimi di Marine Le Pen

marine le pen

Ci sono anche persone vicine a Marine Le Pen nel "sofisticato sistema di evasione fiscale off-shore messo insieme tra Hong Kong, Singapore, Isole Vergini britanniche e Panama". Lo scrive il quotidiano francese Le Monde, puntando l'indice contro "il cerchio di fedelissimi del presidente del Fronte Nazionale": un sistema messo in piedi "per portare fuori dalla Francia il denaro, attraverso societa' di comodo e fatture false e cosi' sfuggire al sistema fiscale francese".

Lascia il premier islandese - Travolto dallo scandalo 'Panama Paers' per i suoi conti offshore, il premier islandese David Gunnlaugsson dopo aver provato a sciogliere il Parlamento, ha gettato la spugna e si e' dimesso. Lo ha annunciato il suo partito. E' la prima vittima dello scandalo scoppiato domenica sera che coinvolge 12 tra ex ed attuali capi di Stato.

Seedorf - I giornali olandesi scrivono che anche centinaia di connazionali sono coinvolti nel caso e tra questi c'è Clarence Seedorf, ex asso della nazionale e calciatore di Real, Inter e Milan.

Inter e Finmeccanica - Ci sarebbero anche l'Inter e una società di Finmeccanica tra i soggetti italiani coinvolti nello scandalo "Panama Papers". I loro nomi, come scrive il Corriere della Sera, sarebbero infatti spuntati tra gli 11,5 milioni di documenti fuoriusciti dallo studio legale Mossack Fonseca di Panama. A "denunciare" la presenza della società Finmeccanica è stato il quotidiano "Indian Express", mentre a rivelare presunti affari offshore connessi all'Inter è stato l'irlandese "Irish Times".

"A Panama società vicine a Renzi" - A complicare una realtà complessa e a tratti confusa arriva anche la dichiarazione di Giovanni Donzelli, capogruppo di Fratelli d'Italia alla Regione Toscana, riportata da il Giornale: "A Panama ci sono società vicine al premier Renzi". In particolare, prosegue Donzelli, "due società con sede a Panama, la Torrado Holding e la Tressel Overseas, hanno quote della Egnazia Shopping Mall, di cui l'amministratore unico è Lorenzo Rosi,ultimo presidente di Banca Etruria, e per cui ha svolto un ruolo da consulente lo stesso papà del premier, Tiziano renzi.

Cina, manovra contro obiettivi non occidentali - I Panama Papers costituiscono un precedente poco chiaro, ma rivelano, di base, "obiettivi politici" contro il mondo non occidentale: e' questa la reazione cinese alla pubblicazione degli 11,5 milioni di documenti riservati dello studio legale panamense Mossack Fonseca. Per il quotidiano cinese Global Times, vicino al governo cinese, sono un capitolo della battaglia ideologica tra Occidente e Paesi non occidentali che ha nel presidente russo, Vladimir Putin, il bersaglio principale. Nel lungo termine, la disinformazione, come la definisce il giornale cinese in un editoriale pubblicato on line, "diventera' un nuovo mezzo per le nazioni occidentali ideologicamente alleate per colpire le elite e le organizzazioni politiche non occidentali". Meglio, allora, le rivelazioni di Edward Snowden, che "sembravano piu' credibili perche' svelate da una riconosciuta talpa", o anche i Wikileaks, che avevano in Julian Assange "un leader di facciata". Per quanto riguarda i Panama Papers, invece, "nessuno e' chiaramente dietro queste ultime rivelazioni". Quanto alle 'vittime' dei Panama Papers, se tra le righe si sprecano i riferimenti a Putin, nessun riferimento, invece, viene fatto dal quotidiano cinese riguardo al coinvolgimento dei parenti di otto leader cinesi, sia del presente che del passato, nel giro di conti offshore gestito dallo studio legale di Panama. Tra questi, anche Deng Jaigui, cognato del presidente cinese, Xi Jinping. L'utilizzo dell'informazione, in casi come quello dei Panama Papers assume quasi le caratteristiche di un complotto per il Global Times, in cui l'Occidente e' "felice" di vedere i propri nemici attaccati da rivelazioni di questo tipo. "I media occidentali hanno preso il controllo dell'interpretazione ogni volta che c'e' stata una particolare rivelazione di documenti e Washington, su questo, ha dimostrato una particolare influenza - conclude il quotidiano cinese - L'informazione che e' negativa per gli Stati Uniti puo' essere sempre minimizzata, mentre l'esposizione di leader non occidentali, come Putin, puo' essere ripresa piu' volte".

Putin,"giornalisti a servizio della Cia" - Vladimir Putin contrattacca e accusa i giornalisti di essere al servizio della Cia; David Cameron si blinda dietro la privacy; Xi Jinping tace, nel piu' perfetto al quale ci abituati la Cina comunista. Il re e' nudo, e reagisce come puo' di fronte agli oltre 11 milioni di documenti che svelano i meccanismi e le transazioni offshore di vip della politica, dello sport e dell'economia che si affidavano allo studio legale Mossack Fonseca per mettere in piedi societa' in grado di bypassare il fisco. Per il Cremlino quello partito dal Consorzio di giornalismo investigativo internazionale e' un attacco ordinato dalla Cia. Vladimir Putin, che nei Papers non figura in prima ma attarverso il suo cerchio magico nel quale e' cruciale i ruolo dell'amico violoncellista Serghei Rodulgin, "il bersaglio principale". E' Dmitri Peskov, il portavoce di Putin, a parlare: nel mirino, afferma, sono "la nostra stabilita' e alle imminenti elezioni", per i successi conseguiti in Siria che si tenta di oscurare. "Questa cosiddetta comunita' giornalistica", vale a dire l'International Consortium of Investigative Journalism responsabile dello scoop, "la conosciamo bene", ha aggiunto. Anzi, ha rincarato la dose Peskov, "ci sono un sacco di giornalisti la cui professione principale e' improbabile sia il giornalismo: un mucchio di loro", ha denunciato, "sono ex funzionari del Dipartimento di Stato americano, della Cia e di altri servizi speciali". Nei Papers, pero', compare anche il nome di un acerrimo nemico di Putin, quel Petro Poroshenko, presidente ucraino, che oggi ha tenuto a sottolneare di non aver commesso "alcuna negligenza" e che lui e' mil primo alto rappresentante dello Stato "a pagare le tasse e dichiarare i propri patrimoni". A Londra ci pensa Downing Street a minimizzare la posizione di David Cameron, rimandando al padre Ian, scomparso nel 2010, la responsabilita' di aver trasferito capitali all'estero. Il nome di Cameron padre nei documenti e' "un affare privato", fanno sapere dall'esecutivo, cioe' da Cameron figlio. Fonti vicine al primo ministro hanno anche sottolineato come le accuse nei confronti di Ian Cameron fossero gia' state lanciate nel 2012, venendo pubblicate un po' da tutti i giornali e soprattutto dall'Independent, e che quindi ora, per quanto riguarda i documenti trapelati, non si tratterebbe di nulla di nuovo.

Le rivelazioni non sembrano finte, e il loro andamento ricorda quello di Wikileaks, l'affaire che fece tremare le diplomazie del mondo con la puubblicazione dei cablo riservati delle ambasciate americane sul pianeta. In serata al suddeutsche Zeitung, il quotidiano tedesco che ebbe la soffiata sui Papers e la condivise con altri quotidiani, ha fatto sapere che "almeno 28 banche tedesche hanno fatto ricorso quest'anno ai servizi della panamense Mossack Fonseca". Molti gli istituti coinvolti, anche molto grandi: la Deutsche Bank, prima banca del paese avrebbe "utilizzato fino al 2007 piu' di 400 societa' offshore", Commerzbank, Dresdner bank e BayernLB. Diverse le banche regionali che si sono rivolte alla societa' panamense. Le banche chiamate in causa hanno tutte dichiarato di "aver cambiato la loro politica negli ultimi anni". "Riconosciamo totalmente l'importanza di questa questione - ha fatto sapere Deutsche Bank - "abbiamo migliorato le nostre procedure di accoglienza dei clienti e le verifiche sulle persone con cui facciamo affari". Il governo di Berlino si attende che la rivelazione dei Panama Papers possa "dare un contributo alla lotta contro la frode fiscale e il lavaggio del danaro". In Italia fonti vicine a Luca Cordero di Montezemolo, il cui nome e' stato fatto a proposito dei Papers, sottolineano che "ne' Montezemolo, ne' la sua famiglia possiedono alcuna societa' offshore". Le procure europee si muovono con imbarazzo piu' che con lentezza. Quella francese per i reati finanziari ha annunciato l'apertura di un'inchiesta preliminare per 'riciclaggio aggravato ed evasione fiscale'. In una nota i magistrati sottolineano come i dati riservati resi noti da un pool giornalistico siano "suscettibili di riguardare persone con domicilio fiscale in Francia", e di pregiudicarne di conseguenza i "contribuenti". Indagini e procedimenti sulla vicenda erano stati assicurati in precedenza dallo stesso presidente Francois Hollande. Cosi' anche la procura spagnola. In tanti si chiedono il motivo dell'assenza di clienti americani della Fonseca. Per adesso si sa slo che il Dipartimenti di Giustizia Usa sta "esaminando" le informazioni pubblicate nei cosiddetti Panama Papers. "Siamo consapevoli delle pubblicazioni e le esamineremo", ha detto il portavoce, Peter Carr, aggiungendo che "non possiamo fare commenti su elementi specifici contenuti nei documenti, ma il Dipartimento di Giustizia prende molto sul serio" tutte le questioni che possano avere "un collegamento con gli Stati Uniti e il sistema finanziario americana"

http:/.affaritaliani.it/cronache/panama-papers-marine-lepen-premier-islanda.html?refresh_ce

-APPENDICE 1:

Anche Renzi coinvolto nella vicenda "Panama Papers"? Le clamorose accuse di Giovanni Donzelli
Yahoo! Notizie
Yahoo Notizie
4 aprile 2016

Guarda le foto

Anche Matteo Renzi sarebbe indirettamente coinvolto nella vicenda “Panama Papers”? A riportare questa possibilità, che se confermata avrebbe del clamoroso, è il quotidiano Il Giornale, che cita quanto sostenuto dal coordinatore dell'esecutivo nazionale e capogruppo in Regione Toscana di Fratelli d'Italia Giovanni Donzelli.

Secondo Donzelli “anche il giro intorno al premier Matteo Renzi fa affari grazie a società con sede a Panama, un legame che si intreccia anche con gli interessi di Lorenzo Rosi, ultimo presidente di Banca Etruria".

In passato lo stesso Donzelli aveva già fornito delle presunte ricostruzioni, da lui svolte, di un giro di interessi sviluppatosi intorno a Renzi e gli amministratori di Banca Etruria. Per Donzelli ci sarebbero ”due società con sede a Panama, la Torrado Holdings e la Tressel Overseas”, che sarebbero in possesso di “quote di capitale della Egnazia Shopping Mall, società nata per la realizzazione dell'outlet di Fasano, in provincia di Brindisi, di cui l'amministratore unico è ancora oggi Lorenzo Rosi e per cui ha svolto un ruolo da consulente lo stesso papà del premier, Tiziano Renzi”. Queste due società avrebbero fondato anche la ‘Corso Italia’, holding nata per acquistare il teatro comunale di Firenze quando sindaco della città gigliata era proprio Renzi.

Per Donzelli “le società con sede a Panama fanno riferimento ad alcuni studi, fra i quali Mossack Fonseca, da cui sono state svelate le notizie sui potenti del mondo, ma anche ad altri come Arifa, la cui sede sembra coincidere con quella di Torrado Holdings e Tressel Overseas. Queste ultime, prosegue Donzelli, “sono state anche recentemente rappresentate all'assemblea della Egnazia, da Luigi Dagostino, regista dell'operazione outlet nella quale sono coinvolti, fra gli altri, oltre a Tiziano Renzi, anche i suoi soci Ilaria Niccolai e Iacopo Focardi, l'ultimo presidente di Banca Etruria Lorenzo Rosi e l'amico e finanziatore di Matteo Renzi Andrea Bacci”.

Insomma, personaggi vicinissimi all’entourage di Matteo Renzi, che fanno chiedere a Donzelli di sapere di più. “Vogliamo sapere chi c'è dietro a queste società e chi porta i soldi nei paradisi fiscali”, continua il capogruppo di Fratelli d’Italia, “è gravissimo che lo stesso giro intorno al premier sia collegato ai paradisi fiscali".

VIDEO - Panama Papers, il paradiso delle società di comodo

(video non riportato)
https:it.notizie.yahoo.com/anche-renzi-coinvolto-nella-vicenda--panama-papers---le-clamorose-accuse-di-giovanni-donzelli-202339028.html
 -
 -APPENDICE 2:
Blitz quotidiano
Cronaca Italia
Panama, Donzelli: “Quegli 8 mln e gli amici di papà Renzi”

Pubblicato il 5 aprile 2016 16:33 | Ultimo aggiornamento: 5 aprile 2016 16:33

di redazione Blitz

ROMA – “Passaggi di denaro anomali per 12,5 milioni di euro di cui 8,1 milioni provenienti dai paradisi fiscali e finiti nelle casse di tre società riconducibili al giro d’affari composto dai soci del papà del premier, Tiziano Renzi, e dei finanziatori del presidente del Consiglio”. E’ quanto ha rivelato Giovanni Donzelli, coordinatore dell’esecutivo nazionale e capogruppo in Regione Toscana di Fratelli d’Italia, in conferenza stampa mostrando i documenti camerali sui passaggi societari incriminati.

“Se un cittadino onesto paga fino all’ultimo centesimo le tasse – commenta Donzelli – il premier Matteo Renzi ha il dovere di spiegare le anomalie in cui sono coinvolti i soci di suo padre Tiziano, Ilaria Niccolai, l’amico e primo finanziatore del premier Andrea Bacci, l’ultimo presidente di Banca Etruria Lorenzo Rosi e l’arrivo dei fondi dai paradisi fiscali. Le società in questione sono Mall Re, che si è occupata della realizzazione dell’outlet di Reggello (Firenze), la Dil Invest e la Egnazia Shopping Mall, nata per la realizzazione dell’outlet che sta per sorgere a Fasano (Brindisi), operazione che ha visto un impegno diretto da parte di Tiziano Renzi. L’amministratore di tutte queste società è Luigi Dagostino, regista delle operazioni di realizzazione degli outlet in varie città d’Italia. E anche fra i soci della Riviera Mall e la Costa Azzurra Re, nate per la realizzazione degli outlet di Sanremo (IM), figurano società con sede nei paradisi fiscali”. “Fra i movimenti il più sostanzioso riguarda la cessione avvenuta il 5 maggio 2015 da parte della Nikila di Ilaria Niccolai del 75% della Mall Re alla società Staridea Investments con sede nel paradiso fiscale di Cipro: quote del valore nominale complessivo di 37.500 euro (500 euro ciascuna) vendute a 7,5 milioni di euro (100 mila euro).

Una crescita di prezzo di 200 volte. Eppure soltanto tre mesi e mezzo prima (il 17 dicembre 2014) nella stessa società era avvenuta una cessione di quote del 25% al prezzo di 20 mila euro. Emblematico anche il caso avvenuto nella Egnazia Shopping Mall il 10 febbraio 2016 la società Syntagma di cui è socio e amministratore unico l’ultimo presidente di Banca Etruria Lorenzo Rosi, ha venduto al regista dell’operazione outlet Luigi Dagostino quote da 1.100 euro al prezzo di 1.100 euro. Lo stesso giorno, 26 minuti dopo, è stata firmata un’altra doppia cessione alla società Uk Development and Investments, con sede nel Regno Unito: La Castelnuovese (a lungo amministrata da Lorenzo Rosi) ha ceduto al prezzo di 130 mila euro 500 euro di quote e Mora Real Estate – fondata dai fratelli Moretti di Arezzo, creatori del marchio Lebole – ha ceduto 1.200 euro di quote al prezzo di 430 mila euro. Nella vicenda rientrano anche i paradisi fiscali con sede a Panama il 30 settembre 2015 Nikila ha ceduto alla Tressel Overseas, società rappresentata in più occasioni dal regista dell’operazione outlet Luigi Dagostino, il suo 30% (3.000 euro di quote) della società Egnazia Shopping Mall al prezzo di 125 mila euro. Lo stesso Dagostino ha ceduto il 18% (1.800 euro di quote) per 75 mila euro”.

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- See more at:
http:/.blitzquotidiano.it/cronaca-italia/panama-donzelli-quegli-8-milioni-e-gli-amici-di-papa-renzi-2430424/
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-APPENDICE 3:

ilgiornale.it

La strana società dei genitori di Renzi con l'uomo dei depositi a Panama
Fabrizio Boschi - Gio, 07/04/2016 - 08:16

La distanza tra Rignano sull'Arno e Panama City è di 8.269 chilometri. Eppure spulciando le visure delle tante società che Tiziano Renzi, padre del premier e il suo amico e compagno in affari Luigi Dagostino hanno aperto e chiuso negli anni, sembra a un tiro di schioppo.

Il nome di quest'ultimo, imprenditore di Barletta col pallino dei soldi, lambisce lo scandalo Panama Papers. Come abbiamo scritto ieri Giovanni Donzelli, coordinatore dell'esecutivo nazionale e capogruppo in Regione Toscana di Fratelli d'Italia, ha scoperto anomali passaggi di denaro provenienti dai paradisi fiscali Cipro e Panama e finiti nei conti di tre società legate a Tiziano Renzi e soci.

Tra le società c'è la Party Srl l'unica nella quale il padre del presidente del Consiglio appare nero su bianco. All'atto costitutivo l'8 ottobre 2014 intervengono davanti al notaio di Reggello, Rita Abbate, Tiziano Renzi, a cui va il 40%, e la Nikila Invest Srl amministrata dalla moglie di Dagostino, Ilaria Niccolai, a cui va il 60%. Amministratore unico della Party la mamma del premier, Laura Bovoli. La società si occupa, tra le altre cose, dell'acquisto e gestione di immobili, della costruzione, acquisto e gestione di alberghi e residence, dell'ideazione, organizzazione, realizzazione, produzione, distribuzione, importazione ed esportazione di prodotti di comunicazione, pubblicità, promozione e marketing. Nemmeno un mese dopo, il 5 novembre, già la prima cessione di quote da parte di Nikila (20%) alla Creazioni Focardi Srl di Iacopo Focardi, pellettiere di Figline Valdarno con la fissa per gli outlet. Dagostino, che costruisce outlet in tutta Italia (portandosi dietro Renzi padre come consulente) e al quale vengono attribuiti strane cessioni di quote e trasferimenti di capitali a Panama, in tutti questi affari c'è ma non si vede. Un vero stacanovista, a giudicare dalla mole di società presenti sulla sua visura camerale: dieci le cariche attuali in altrettante società, 26 le cariche recesse e venti le imprese nelle quali era presente. Dagostino è il rappresentante di buona parte delle società estere e off-shore che tra il 2010 e il 2015 comprano terreni o controllano le quote delle immobiliari coinvolte negli affari dei mall del lusso. Il suo nome (o quello delle sue società) compare praticamente in tutte le operazioni che riguardano babbo e mamma Renzi e che ora si spostano in Puglia, a Fasano. Tiziano Renzi non è da meno: dieci le società nelle quali è presente dal 1997 al 2016. Ma nella posizione patrimoniale presentata alla presidenza del Consiglio dei ministri si dichiara agente di commercio con un reddito da 51.901 euro in tre anni (17mila all'anno). Quindici mesi dopo la sua costituzione, la Party Srl si scioglie: davanti al notaio si ritrovano Tiziano Renzi, Luigi Dagostino (che nel frattempo è diventato amministratore della Nikila), Iacopo Focardi e Laura Bovoli. Liquidatore sempre il Dagostino. Che strani rigiri.

 http:/.ilgiornale.it/news/politica/strana-societ-dei-genitori-renzi-luomo-dei-depositi-panama-1243199.html
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REAZIONE:FINO A QUANDO DOBBIAMO TOLLERARE QUESTO POVERO IMPUDICO CORROTTO,AGENTE DELLA ROTSCHILD(PRINCIPALE BANCA DEI GESUITI COINVOLTA ANCHE NEL PANAMA PAPERS)?:PRIMO LA TRUFFA AGLI OBLIGAZIONISTI DELLA ETRURIA,DOPO CONFESSO AUTORE DELL'EMMENDAMENTO PER FAVORIRE LE PETROLIERE TOTAL E SHELL,E ORA IMPLICATO DI FAMIGLIA NEL RICICLAGGIO DI DENARO NELLE OFF SHORE DEL PANAMA.
E INOLTRE PRETENDE PRENDERE IN GIRO GLI ITALIANI ISTIGANDOLI A PREGARE AL DIO DENARO CON RIDICOLI PREMI DA KERMESSE PER OTTENERE  VOTI.QUESTE INDEGNE ELEMOSINE VANNO BENE NEL TERZO MONDO:CREDE IL LADRONE CHE TUTTI SIANO DELLA SUA CONDIZIONE?
AGISCA LA GIUSTIZIA DI UFFICIO GIA,SUBITO.
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-PD:E LA GRANDE STAMPA ITALIANA?
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-SU BLITZ:
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Matteo Renzi, Panama papers: le prime pagine dei giornali

Pubblicato il 5 aprile 2016 08:06 | Ultimo aggiornamento: 5 aprile 2016 08:06

di Redazione Blitz

ROMA – Queste le prime pagine dei giornali di martedì 5 aprile. La prima pagina de La Stampa: “Petrolio, tutti i no della Boschi ai pm. Anche i periti nel mirino della Procura: truccavano le relazioni su intervento dell’Eni”. La prima pagina del Corriere della Sera: “Renzi accusa i pm di Potenza: non arrivano mai a una sentenza. Boschi ai magistrati: io sempre corretta”. La prima pagina de La Repubblica: “Scandalo petrolio, Renzi sfida i giudici. Boschi ai pm: non ho subito pressioni”. La prima pagina del Sole 24 Ore: “Fmi: rischi da Cina e Brasile. Borse Ue in lieve ripresa ma non Piazza Affari”.

La prima pagina del Messaggero: “I pm dalla Boschi, Renzi li striglia. Caso petrolio, il ministro sentito per due ore dai magistrati di Potenza”. La prima pagina del Giornale: “Conti all’estero. Gli ottocento italiani con i soldi a Panama. Verso una nuova proroga allo studio fiscale”. La prima pagina del Manifesto: “Onnipotenza”. La prima pagina del Fatto Quotidiano: “Renzi dichiara guerra ai pm che osano sfidare la Boschi”. La prima pagina di Libero: “Renzi cade nel pozzo. E mezzo Pd: non sei un leader”. Queste le prime pagine dei giornali di martedì 5 aprile.

- See more at: http:blitzquotidiano.it/rassegna-stampa/matteo-renzi-panama-papers-le-prime-pagine-dei-giornali-2-2429870

REAZIONE:NE MENO UNA PAROLA SU RENZI E I PANAMA PAPERS

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 9 APRILE 2016:MA CAMERON SI CONFESSA
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-SU LE MONDE:
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Le Monde, en partenariat avec 108 médias étrangers et le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) a eu accès à une très grande masse d'informations inédites : 11 millions de fichiers provenant des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore. Les données, qui constituent le plus gros "leak" de l'histoire, s'étalent de 1977 à 2015. Elles révèlent que des chefs d'Etat, des milliardaires, des grands patrons, des figures du sport, de la culture, de l'économie recourent, avec l'aide de certaines banques, à des montages de sociétés afin de dissimuler leurs avoirs.

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« Panama papers » : la presse britannique condamne l’hypocrisie de Cameron

LE MONDE | 08.04.2016 à 14h15,Mis à jour le 08.04.2016 à 15h24 | Par Angela Bolis

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pAULP

Paul johnson@paul johnson

Cameron finally admits, yes. I benefited from Panamanian, offshore, UK tax-avoiding fund Tomorrow's Guardian

23:03- 7 Avr 2016

« Cameron l’a finalement admis. » Comme le titre le Guardian, vendredi 8 avril, le premier ministre britannique a reconnu, jeudi soir, qu’il avait tiré profit du fonds fiduciaire (trust) que son père Ian, mort en 2010, avait géré par l’intermédiaire du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca sans payer le moindre impôt pendant trente ans.

Lire :   « Panama papers » : David Cameron admet avoir eu des parts dans un fonds offshore de son père

Ces aveux interviennent après plusieurs jours de dénis ou de communication embarrassée, face aux révélations de l’enquête internationale sur l’évasion fiscale issue des « Panama papers ».

Le Telegraph revient ainsi sur « la semaine la plus préjudiciable » de David Cameron en tant que premier ministre, rythmée par une communication politique « désastreuse ». Son « spectaculaire mea culpa », rappelle le quotidien, est survenu après quatre autres réponses, à chaque fois différentes, face à ces accusations.

Le journal énumère : lundi 4 avril, David Cameron estimait que les placements offshore de son père défunt étaient une « affaire privée ». Mardi, qu’il n’avait « aucune action, aucun trust offshore, aucun fonds offshore, rien de tout cela ». Et mercredi, qu’« il n’y a pas de fonds offshore ou de trust dont le premier ministre M. Cameron ou ses enfants pourront bénéficier dans le futur », d’après un porte-parole. Jeudi, enfin, il a reconnu qu’il avait bien détenu, avec son épouse Samantha, des parts de Blairmore Holdings Inc, le fonds géré par son père, entre 1997 et 2010, alors qu’il était le leader de l’opposition conservatrice. Il a affirmé les avoir vendues juste avant de devenir premier ministre, réalisant un profit de 23 500 euros.

Appels à la démission

Malgré ces aveux, l’opposition travailliste estime que des questions se posent toujours sur ses montages financiers et investissements passés, relève un article du Guardian. Pour le vice-président du Labour, Tom Watson, le premier ministre devrait rembourser « l’argent qui, d’après ses propres dires, devrait moralement être détenu par le Trésor public ». « Il pourrait avoir à démissionner pour cela », lance-t-il sur Sky News.

D’autres appels à la démission ont fusé dès jeudi soir dans le camp de l’opposition, comme celui du député du Labour, John Mann, sur Twitter. Dans The Independent, une tribune abonde dans ce sens, dressant un parallèle avec le cas du premier ministre islandais, qui a dû officiellement quitter son poste après un scandale autour de sa société offshore cachée dans les îles Vierges britanniques. En Grande-Bretagne, en comparaison, « le manque d’indignation est stupéfiant », estime la journaliste Kirsty Major.

« Champion » de la transparence financière

Pour M. Cameron, cette affaire tombe d’autant plus mal qu’il s’est posé régulièrement en champion de la transparence financière, et doit présider le mois prochain à Londres un sommet anticorruption. « Dans le passé, M. Cameron a critiqué l’optimisation fiscale et a fait de la lutte contre l’évasion fiscale un élément clé de son programme économique », note The Independent.

Selon le quotidien britannique, il avait qualifié ces pratiques de « franchement et moralement mauvaises » en 2012, promettait en 2013 que « ceux qui veulent échapper aux impôts n’ont nulle part où se cacher », et affirmait en 2014 qu’« aucun gouvernement n’a fait davantage pour réprimer l’évasion fiscale et l’optimisation fiscale agressive ».

Au-delà de ses promesses sur l’évasion fiscale, c’est le modèle politique prôné par son parti – qu’il a tenté de repositionner comme proche « du combat des Britanniques sur les bas salaires », note The Economist – qui est remis en cause. Dans une tribune au Guardian, le journaliste John Harris va dans le même sens :

« Cameron voudrait que l’on voie sa politique comme un mélange des deux branches du conservatisme qui l’ont précédé : la croyance qu’il faut travailler dur et ne dépendre de personne, incarnée par Margaret Thatcher, et le torysme [les tories étant l’ancêtre du Parti conservateur au Royaume-Uni] aristocrate, social, qui a toujours une place dans le cœur de certains conservateurs. (…) Mais la réalité, (…) c’est que ce qui reste des anciennes classes [aristocrates] terriennes s’est largement estompé chez les élites argentées, dont les habitudes ont une nouvelle fois été révélées dans l’actualité de cette semaine : assez riches pour s’acheter des propriétés dans les quartiers les plus riches des grandes villes du monde, et familières de la finance offshore internationale. »

Une analyse du Guardian montre ainsi que l’argent de David Cameron, qui a assuré n’avoir « jamais caché le fait qu’il avait eu beaucoup de chance d’avoir des parents fortunés », est issu de généreux héritages et de sociétés familiales.

« Du Panama au Brexit »

Ces informations pourraient contribuer à affaiblir un premier ministre déjà aux prises avec une difficile campagne pour le référendum du 23 juin sur le maintien ou la rupture avec l’Union européenne (« Brexit »). La principale victime de ce scandale, estime un article du magazine The Economist, pourrait d’ailleurs être « la campagne pour le maintien de la Grande-Bretagne en UE » menée par M. Cameron, en donnant l’image d’une « élite europhile cupide et mondialisée, coupée de l’expérience des gens ordinaires ».

Démission ou pas, « Brexit » ou pas, les prochaines heures pourraient en tout cas « changer la Grande-Bretagne », a estimé, sur Twitter, Edward Snowden, ancien employé de la CIA et de la National Security Agency, qui a révélé des programmes de surveillance de masse américains et britanniques.

image: http:s1.lemde.fr/image/2014/06/18/24x24/1100512570_4_2e2c_14030873074145-bolis-angela-mia-20131127-104646_faf1f09881e76f331936ca5703f2f9cb.jpg

 Angela Bolis Journaliste au Monde

En savoir plus sur http:.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/08/panama-papers-la-presse-britannique-condamne-l-hypocrisie-de-cameron_4898744_4890278.htlm

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REAZIONE:PORQUE TODO SE SABE.
(E LA RIFORMA TRIBUTARIA INTERNAZIONALE SUI BIG DELLE TELECOMUNICAZIONI PER QUANDO?)
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9 APRILE 2016:"NEEDERXIT",IL DOPO VOTO
-SU LE MONDE:
Europe
Quelles conséquences après le référendum néerlandais ?

LE MONDE | 08.04.2016 à 19h12,Mis à jour le 08.04.2016 à 20h29 | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen)

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Manifestation à Kiev, en Ukraine, le 5 avril.

Le « non » au référendum néerlandais sur l’accord d’association entre l’Union européenne et l’Ukraine aura-t-il pour conséquence de « tuer » ce traité, symbole de l’ancrage à l’ouest de l’ex-république soviétique ? A priori non, mais il devrait quand même le fragiliser d’un point de vue politique et juridique.

Les Pays-Bas sont le dernier des 28 pays de l’UE à ne pas avoir ratifié ce traité comportant un important volet commercial (facilitation des échanges) et une partie politique (libéralisation des visas, engagement de l’Ukraine à faire des réformes, lutter contre la corruption, etc.). En réalité, c’est au Parlement néerlandais de se prononcer, car le gouvernement du libéral Mark Rutte, lui, l’a déjà approuvé (comme les 27 autres gouvernements de l’Union, en juin 2014).

Trois options

S’il refuse de ratifier l’accord, ce dernier, qui est entré partiellement en application (pour son volet commercial) le 1er janvier, devra être renégocié à 28. Trois options se présentent :

*les 28 gouvernements de l’Union peuvent choisir de s’asseoir à nouveau, tous autour d’une table, avec l’Ukraine pour renégocier l’ensemble de l’accord ;

*ils peuvent aussi conserver le texte initial du traité, mais décider qu’il ne s’applique plus qu’à ceux des pays Européens qui le veulent;

*les 28 gouvernements plus l’Ukraine peuvent enfin réduire l’accord aux parties « de compétence communautaire » (le libre-échange essentiellement), qui ne nécessitent pas a priori l’assentiment de tous les parlements nationaux européens pour s’appliquer.

Dans tous les cas, c’est à la Commission de Bruxelles de faire une proposition sur l’une des trois options au Conseil, qui devra être aussi validée par le Parlement européen.

Tous ces scénarios liés à un refus de ratification des Pays-Bas semblent improbables : certes, même s’il n’est que consultatif, le « non » au référendum du mercredi 6 avril est perçu, et pas que par les eurosceptiques, comme une gifle des opinions publiques aux « élites » proeuropéennes. Le gouvernement libéral-travailliste néerlandais ne peut pas l’ignorer : « Si le résultat est bien un “non”, nous devrons considérer cet avis avec précaution, avait dit M. Rutte dès mercredi soir. Il signifie un fait politique, à savoir que la ratification ne peut pas simplement suivre son cours. »

Lire aussi :   L’Europe fragilisée par le non des Néerlandais

Appliqué de façon provisoire

La Haye ne se prononcera qu’à partir du 12 avril, quand les résultats définitifs sur le référendum seront tombés. Comment le pays, un des fondateurs de l’Union, de tradition libérale, atlantiste, pourrait-il prendre le risque politique de dénoncer un accord signé par 27 gouvernements partenaires et tous leurs parlements nationaux, surtout qu’il a actuellement, et jusqu’à fin juin, la responsabilité de la présidence tournante de l’Union européenne ?

Il peut demander à Bruxelles, avec l’accord du Parlement européen, des aménagements, avec des clauses spécifiques pour le pays : la possibilité, par exemple, de se soustraire à certaines parties de l’accord. La Haye pourrait aussi réclamer un « protocole additionnel » ou une déclaration, répondant aux principales préoccupations du camp du « non » : quelques phrases, dans l’accord, soulignant que l’Ukraine ne deviendra pas dans un avenir proche un membre de l’Union, ou que la lutte contre la corruption est une priorité, par exemple.

En attendant, l’accord devrait pouvoir continuer à s’appliquer de manière provisoire, comme c’est déjà le cas depuis le 1er janvier 2016. Ainsi des décisions sur l’abaissement des droits de douane entre l’UE et l’Ukraine, mais aussi de la coopération en matière d’énergie, de développement durable, etc. Appliquer de manière provisoire un accord d’association avant même qu’il ait été ratifié par tous les pays de l’Union est une pratique courante, les ratifications prenant parfois des années. Les périodes d’application provisoire peuvent même durer au-delà de dix ans, souligne-t-on à la Commission de Bruxelles.

Lire aussi :   L’Europe est-elle mortelle ?

  Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen)
http:lemonde.fr/europe/article/2016/04/08/apres-le-referendum-neerlandais-quelles-consequences-pour-l-accord-d-association-ue-ukraine_4898949_3214.html
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REAZIONE:PROVISORIATO?PROVISORIATO DI 10 ANNI?NO, SOSPENDERE OGNI ACCORDO E CONDIZIONARE ULTERIORI AVVICINAMENTI ALLA RESTITUZIONE DELLA DEMOCRAZIA.
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9 APRILE 2016:AL RISCATTO DEGLI ANIMALI
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-SU LE MONDE:
édition abonné

Une « République du vivant » au secours des animaux

LE MONDE | 07.04.2016 à 11h34,Mis à jour le 08.04.2016 à 16h30 | Par Audrey Garric

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image: http:s2.lemde.fr/image/2016/04/08/534x0/4898849_7_6a40_dans-un-abattoir-roumain_50805067fe545ed3ce9dfddf461981df.jpg

 

Dans un abattoir roumain.

Nous choyons nos chiens et nos chats, mais nous mangeons les vaches, les moutons et les cochons. Nous méprisons les pigeons et admirons les aigles. Nous exterminons les rats tout en protégeant les pandas. Pourquoi ? Car la plupart d’entre nous sommes spécistes. C’est ce « dogme en vigueur » qu’entend pourfendre l’écrivain et journaliste Aymeric Caron, dans son nouvel ouvrage, Antispéciste, un essai audacieux et documenté publié jeudi 7 avril.

Le premier intérêt du livre réside dans son titre même. Bien connus du petit monde des végétariens et des défenseurs des animaux, les termes de spécisme et d’antispécisme restent malgré tout ignorés en France. Inventés par le psychologue britannique Richard Ryder en 1970 et popularisés par le philosophe australien Peter Singer dans son best-seller La Libération animale en 1975, ils trouvent récemment une résonnance avec les vidéos chocs de l’association L214 sur les abattoirs.

Le spécisme, nommé par analogie avec le racisme et le sexisme, « désigne toute attitude de discrimination envers un animal en raison de son appartenance à une espèce donnée », écrit l’auteur. Ce « préjugé » consacre à la fois la supériorité des humains sur les autres espèces et légitime des différences de traitement, en créant des catégories « injustifiées » (animaux de boucherie, de compagnie, de loisirs, etc.).

Au contraire, l’antispécisme, dont se revendique Aymeric Caron, refuse de faire passer les intérêts des humains avant ceux des « animaux non humains »...

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REAZIONE:PECCATO NON SONO ABBONATO A LE MONDE,MI SAREBBE PIACIUTO LEGGERE QUESTO ARTICOLO INTERO.SONO AMANTI DEGLI ANIMALI E ADERISCO AL MOVIMENTO ANIMALISTA.E ORA DI ONORARE LA VITA,E DI LASCIARE INDIETRO L'ORGOGLIO DI SPECIE SUPERIORE,ANCHE L'UOMO E' UN MORTALE ANIMALE,NON DIMENTICARLO.
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9 APRILE 2016:MORTE DI REGENI,FU L'IS
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TITOLARE THE HUFFINGTON POST
COME ROMA HA SMASCHERATO IL BLUFF DI AL SISI (di A. PURGATORI)

COME ROMA HA SMASCHERATO IL BLUFF DI AL SISI (di A. PURGATORI)

REAZIONE:FU L'IS.RENZI GETTA FUMO NEGLI OCCHI PER CERCARE DI DISTORCERE L'ATTENZIONE SUI SUOI GUAI INTERNI E GIUDIZIARI CREANDO ARTIFICIALMENTE UN CONFLITTO ESTERNO CON ALTRA NAZIONE.
POCO TEMPO FA ANCHE BERLUSCONI,CON IL SOSTEGNO DI RENZI,CI HA PROVATO MINACCIANDO INTERVENTO ARMATO IN LIBYA.IL SUO ALLIEVO IMPARA SUBITO.E POI E' UNA VECCHIA RICETTA DI TUTTI I GOLPISTI.ANCHE GALTIERI LO HA FATTO IN ARGENTINA CON LE FAULKLANDS.
ANCHE SUL MH17 DI MALASYA AIRLINES C'E' FUMO,LO DICE IL POPOLO NEERLANDESE.FINALMENTE LA VERITA SPLENDERA.
GLI ITALIANI VERI NON SI LASCINO CONFONDERE SOTTO PENA DI CONTINUARE A MORIRE ALL'ESTERO -ILLUSTRAZIONE MUSICALE: [youtube https://www.youtube.com/watch?v=jE0lyDeYlYU&w=420&h=315] -
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10 APRILE 2016:CORAGGIO,INGOIARE IL ROSPO
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-TITOLARE CORRIERE DELLA SERA:
Corriere della Sera
Renzi porge la mano a re Harald di Norvegia ma l’attesa è vana…
Corriere della Sera  - ‎20 ore fa‎
I Reali di Norvegia, re Harald V e la regina Sonja, sono arrivati a Palazzo Chigi dove hanno avuto un incontro con il presidente del Consiglio Matteo Renzi. I Reali sono stati accolti nella sede del governo italiano con gli onori militari ...

Editoriale:

Renzi e la stretta di mano “mancata”, tenta di stringerla al re: è ignorato  La Stampa
Correlati Matteo Renzi » Harald V di Norvegia »
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REAZIONE:FIRENZE NON E' LA PERIFERIA DI EUROPA PURTROPPO.....CORAGGIO.
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10 APRILE 2016:LITE FRA GOLPISTI?
-SU IL GIORNALE:
La disfatta di Renzi

Il premier è all'angolo con l'Europa, sulle unioni civili e anche sull'occupazione. Renzi scopre che gli annunci non bastano più

Quando è arrivato a palazzo Chigi a bordo di una Giulietta bianca Matteo Renzi credeva che bastava qualche flash e qualche selfie con i passanti per convincere gli italiani.

Quella Giulietta oggi ha già le ruote sgonfie e lo smartphone ha esaurito la batteria. Il premier, non eletto (ricordiamolo per chi si è abituato all'idea di Renzi a palazzo Chigi), si ritrova forse nel momento più difficile da quando si è accomodato sulle poltrone di Roma. In poche ore deve fare i conti con numerose batoste. La prima gliel'ha data l'Europa a cui chiede maggiore flessibilità. Prima il Ppe, poi Moscovici della Commissione Ue hanno gelato il premier con un secco "no". Lui fa finta di tirare dritto, ma in realtà sa che con Bruxelles non si scherza. E dato che sul fronte dei conti in Europa, come al solito è tornato con un pugno di mosche in mano, cerca riparo in Italia promettendo anche un reddito minimo di ben 320 euro mensili per i poveri. Mance su manche che però fanno sballare i numeri. Di fatto, prima che il reddito minimo possa prendere il solito volo che dagli annunci passi ad una norma spot per illudere qualche italiano in vista delle amministrative, ci pensa l'Istat a smontare i piani del premier e la sua punta di diamante, ovvero il jobs act. Il tasso di disoccupazione a dicembre 2015 risale, attestandosi all’11,4% dall’11,3% di novembre. Lo rileva l’ Istat, nei dati provvisori sul mercato del lavoro a dicembre 2015. Le persone in cerca di occupazione sono 2.898.000, in aumento di 18.000 unità su novembre (+0,6%).

Numeri, cifre chiare e tonde che non lasciano spazio alle parole del premier. Pure sulla riforma del lavoro il governo comincia a fare acqua. E come se non bastasse anche l'altro distrattore per l'opinione pubblica, le unioni civili si sta trasformando in un boomerang per il governo. Ncd minaccia il Pd: "Riflettete bene sulle adozioni", ha affermato Alfano. L'opposizione di centrodestra prosegue con il suo "no" alla stepchild adoption e il premier ha un partito spaccato in due. È questo il quadro della situazione: in mezzo c'è Renzi che comincia a sentire il fiato sul collo dei sondaggi che segnalano un Pd ben lontano da quel 40 per cento delle ultime europee. Renzi, negli ultimi sette giorni, ha dovuto nuovamente fare i conti con l'evidenza dei fatti. Che lui, col suo fare da imbonitore pare schivare. Ma i colpi arrivano e sono ben più dolorosi di quanto possa pensare. Il caso del crac banche non è stato ancora risolto e migliaia di risparmiatori hanno perso tutto grazie anche alle mosse del governo che non li ha saputi tutelare. Un governo e un premier che perdono di credibilità giorno dopo giorno, statua velata dopo statua velata. Dalla Merkel, Renzi, è andato col cappello in mano. Ha provato a cercare una sponda a Berlino per ottenere maggiore flessibilità sui conti. Ma anche da lì è tornato a mani vuote. L'unica soddisfazione che gli resta è il suo nuovo "Air Force One", pagato con i soldi dei contribuenti. Potrà volare in alto e accomodarsi su poltrone di pelle per provare a capire i motivi della sua disfatta. Una disfatta su tutti i fronti che dimostra una sola cosa: alle parole devono seguire i fatti. Tweet e annunci non servono a sedurre gli elettori nè a riempire le tasche di chi ha perso tutto dopo averlo affidato nelle mani delle banche.

http:/ilgiornale.it/news/politica/disfatta-renzi-1219858.html

REAZIONE:POTREBBE CHIUDERE UN OCCHIO E DIRE CHE L'ANALISI DI QUESTA NOTA E' CORRETTO MA....ATTENTI,QUESTO E' IL GIORNALE DELLA FAMIGLIA BERLUSCONI E NON LO POSSONO NASCONDERE.VEDIAMOLO NELLE LE PAROLE CHIAVE(NEL MODERNO LINGUAGGIO SCRITTO DEL WEB SI CHIAMANO TAGS E IO L'HO "INVENTATO")

1-"IL PREMIER NON ELETTO",DICE L'ARTICOLISTA.QUESTA E' UNA FRASE CHE SPESSO RIPETE BERLUSCONI,BE..SEMBRA CHE SIA GELOSO DELLA POLTRONA DI QUEL PALAZZO.AH CHE NOSTALGIA,VERO "EX-CAVALLIERE"?!!!!!MA L'ARTICOLISTA DOVREBBE DIRE ANZI CHE "PREMIER NON ELETTO" ADIRITTURA PREMIER GOLPISTA.MA NON LO PUO DIRE PERCHE MALGRADO GIOCHI ALL'OPOSIZIONE QUEL GOVERNO LO HA VARATO LUI INSIEME A NAPOLITANO NAZARENO MEDIANTE,E RESTA IL PRINCIPALE SOSTENITORE E ISPIRATORE.IL VERO GOLPISTA,IL POTERE DIETRO IL POTERE,E ' LUI.

2-IL GIORNALE DI FAMIGLIAA SE LA PRENDE CON LO SMARTPHONE E LE RETI SOCIALI,PROVA CHE L'EX-CAVALLIERE OLTRE AD UN NOSTALGICO DELLE ABITAZIONI DI PALAZZO CHIGGI RESTA UN FERMO SOSTENITORE DEI VECCHI MEZZI,E CIO'E' DEI TELECANDIDATI DELLA SUA EGEMONICA TV TRADIZIONALE DIMENTICANDO CHE MALGRADO RENZI GIOCHI AL CULTORE DEI NUOVI MEZZI AFFIDANDOSI AL TWEET E LO SMARTPHONE,RESTA,E COME LUI SALVINI ,FITTO ED ALTRI,UN PATTISTA BIPARTISAN TELEVISIONE-NUOVI MEZZI,APPARTENIENTE ALLA GENERAZIONE,APPUNTO,"TELE-MACO".

TUTTE DUE APPARTENGONO AL PASSATO,QUELLO DEI MEZZI TRADIZIONALI E STANNO CERCANDO DI SNATURALIZZARE E SOSTITUIRE LA NUOVA ERA VINCENTE,QUELLA IN QUI IL POPOLO PASSA AD AVERE VOCE IN CAPITOLO NON PASSIVO CONSUMITORE DEL MESSAGGIO  UNIDIRZIONALE DEL CONTATO VIRTUALE A DISTANZA.QUESTA E' L'ERA DELLE MASSE ESPRIMENDOSI "IN VIVO E IN DIRETTA",E LA PRIMAVERA ARABA TRA L'ALTRO LO HA DIMOSTRATO.LORO DUE,RIPETO,SONO IL PASSATO CHE NON TORNA.

3-TERZA PAROLA CHIAVE:"AIR FORZE ONE":IO NON VOLO IN QUESTO "LOW COAST" CARO BERLUSCONI.IL POPOLO ITALIANO NE ANCHE,HA RAGIONE L'ARTICOLISTA,LA LUNA DI MIELE DI RENZI CON L'ELETTORATO E' FINITA.

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11 APRILE 2016:COLPO  AL NEOLIBERALISMO

-SU LE MONDE:

« Panama papers » : le Panama écarte la prise de mesures de rétorsion contre la France

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 09.04.2016 à 03h55 • Mis à jour le 09.04.2016 à 15h50

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image: http:/s2.lemde.fr/image/2016/04/09/534x0/4899011_6_40e1_le-panama-avait-menace-de-represailles_fa5c965277d19e7ca62c6b62dda78534.jpgLe Panama avait menacé de représailles, mardi, après la décision de la France de le réinscrire sur la liste noire des Etats non coopératifs en matière fiscale.

La décision de Paris de réinscrire le Panama sur sa liste noire des Etats non coopératifs en matière fiscale est « erronée » et « non nécessaire », a jugé vendredi 8 avril le président panaméen Juan Carlos Varela, quelques heures après que Bercy a entériné cette mesure par arrêté. Après une conversation téléphonique avec son homologue François Hollande, le chef de l’Etat a expliqué que son pays n’envisageait toutefois pas de « mesures de rétorsion », préférant la voie diplomatique dans la recherche d’une solution. Devant des journalistes, M. Varela a ainsi réaffirmé « son engagement à la transparence et, surtout, de continuer à lutter avec tous les pays pour arriver, grâce à la coopération et la diplomatie, aux résultats recherchés ».

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Une réunion spéciale sur les « Panama papers », l’enquête internationale sur l’évasion fiscale à laquelle Le Monde a participé, s’était tenue le 5 avril au matin à l’Elysée. A l’issue de cette dernière, la décision a été prise de réinscrire le Panama sur la liste noire française des Etats et territoires non coopératifs (ETNC) en matière fiscale, après l’enquête sur les pratiques de la firme panaméenne Mossack Fonseca. Cette annonce avait été vivement critiquée par le Panama, qui avait menacé mardi la France de représailles.

Lire aussi :   « Panama papers » : à quoi servent les listes noires de pays ?

« Totale transparence »

Vendredi lors de son entretien avec M. Valera, François Hollande « a vivement encouragé le Panama à répondre aux demandes d’informations des autorités fiscales françaises ». Le chef de l’Etat français « a par ailleurs confirmé que la France avait demandé la tenue la semaine prochaine d’une réunion des experts de haut niveau de l’OCDE [Organisation de coopération et de développement économiques] pour travailler à une action coordonnée des administrations fiscales ».

Lire aussi :   Ce qu’il faut retenir des « Panama papers »

De son côté, le ministre des finances panaméen s’envolera la semaine prochaine pour Paris, a fait savoir le président panaméen. Selon Bercy, Michel Sapin devrait le recevoir pour lui demander une « totale transparence » sur la situation des Français au Panama.

Ce petit Etat d’Amérique centrale est le siège de nombreuses compagnies offshore. Son secteur financier florissant représente, en comptant les revenus issus du célèbre canal du même nom, près de 80 % du PIB. La Commission européenne l’a intégré dans une liste de 30 paradis fiscaux en présentant en juin 2015 son plan de lutte contre l’évasion fiscale des entreprises multinationales. Le GAFI, institution de lutte contre le blanchiment, l’a pour sa part retiré de sa liste grise, début de 2016

En savoir plus sur http:/lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/09/panama-papers-le-panama-ecarte-la-prise-de-mesures-de-retorsion-contre-la-france_4899012_4890278.html

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REAZIONE:VERSO UN NUOVO ORDINE FINANZIERO MONDIALE.
E,NATURALMENTE,VISTI I PERSONAGGI COINVOLTI,LE SUE AREE DI INFLUENZA,LE ISTITUZIONI E PAESI COINVOLTI E LE ASTRONOMICHE CIFRE DI DENARO IN BALLO,VIENE DA CHIEDERSI SE NON SIA IL CASO DI CERCARE QUI POSSIBILI FONTI DI FINANZIAMENTO DEL TERRORISMO.

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=PcjJhiwKSAw&w=560&h=315] -

11 APRILE 2016:PROFESSORESSA TRANSGREDER,BALLO IN MOSTRA

-SU GOOGLE:

Prato, professoressa trans balla e si spoglia in classe

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=r9MlPP3PXM8&w=560&h=315]

pubblicato il 9 aprile 2016 alle ore 19:35

Il tutto è avvenuto all’Istituto Gramsci Keynes di Prato. L'insegnante transgender improvvisa un balletto con un accenno di spogliarello, in cui mostra la biancheria intima. Le immagini sono state diffuse dalla pagina Facebook "Azione Giovani - Gioventù Nazionale Prato" dopodiché la preside dell'istituto ha deciso di avviare un'azione disciplinare. ( Qui la notizia: http:/fanpage.it/professoressa-trans-improvvisa-spogliarello-sexy-in-classe-polemica-a-prato/ )

IL BALLO IN MOSTRA E' UNA COSA INCREDIBILE:NUDA IN CLASSE PER I RAGAZZI.

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Zi_XLOBDo_Y&w=420&h=315] -

-APPENDICE:ANCHE QUESTA SI SPOGLIA

Arrestation musclée d'une FEMEN au maroc ( Béni Mellal )

https://dailymotion.com/video/x43oduz

REAZIONE:MA QUESTA NON BALLERA [youtube https://www.youtube.com/watch?v=ih4JqI44Qz8&w=420&h=315]

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