L'arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis et ses prises de positions contre le climat, les vaccins et certaines données issues de la recherche ont été le déclencheur de ce mouvement inédit. L'idée d'une grande «Marche pour les sciences» est née avec celle des femmes pour la défense des droits civiques, le 21 janvier dernier, le lendemain de l'investiture de Donald Trump. Mais les organisateurs de cette marche du samedi 22 avril - le choix de la date coïncide avec la Journée mondiale de la Terre - insistent sur le fait qu'elle n'est pas politique et qu'elle ne cible pas de responsables gouvernementaux en particulier. Alors qu'est-ce qui fait descendre les chercheurs dans la rue?
LIRE AUSSI: les chercheurs invitent le monde à marcher pour la science (article premium)Carte des marches pour la science dans le Monde. (source: https:.marchforscience.com/satellite-marches/ )
*Protester contre les coupes budgétaires
Aux États-Unis, l'administration Trump veut réduire de 30% le budget de l'agence de protection de l'environnement (EPA), dirigée par le climato-sceptique Scott Pruitt. Elle veut aussi réduire les budgets des instituts nationaux de la santé (NIH) et mettre fin à toutes les recherches de la Nasa sur la Terre et le climat.
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Le président de l'Association américaine pour l'avancement de la science (AAAS), la plus grande organisation scientifique généraliste (120.000 membres), Rush Holt, pointe aussi que le budget fédéral consacré à la recherche est actuellement moitié moins important que ce qu'il était dans les années 1960 en pourcentage du PIB.
*Sauver des données vitales pour la science
Le mouvement s'est internationalisé lorsque Donald Trump a proposé de détruire certaines données sur le climat. De même, la réduction des budgets et le risque d'abandon de certaines missions spatiales représentent un manque important en données vitales pour les chercheurs du monde entier qui utilisent ces données pour travailler, par exemple, sur des simulations.
*Défendre l'importante de la science dans la société
«Les scientifiques se rendent compte depuis ces dernières années (...) que les faits scientifiques sont trop souvent ignorés dans les débats publics pour être remplacés par des opinions et des croyances idéologiques», explique Rush Holt. Les organisateurs veulent donc défendre la rigueur, la démarche scientifique et le rôle-clé de la recherche dans l'élaboration des politiques publiques.
En France, Patrick Lemaire, membre du comité d'organisation français déplore aussi le manque de compréhension des enjeux scientifiques chez les politiques de tous bords et la défiance croissante envers les données scientifiques dans la population. «L'idée est que les scientifiques soient plus impliqués dans le projet sociétal».
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Le rassemblement à Washington est prévu samedi à partir de 13H, heure française sur l'esplanade du National Mall, à deux pas de la Maison Blanche. Un défilé qui commencera en début d'après-midi en direction du Capitole, siège du Congrès, clôture cette mobilisation. Près de 500 autres manifestations sont également prévues à travers les États-Unis, en France et dans nombreux pays européens ainsi qu'au Canada, au Mexique, au Brésil, au Nigeria, en Corée du Sud. Les chercheurs ne veulent pas être les seuls à manifester, et ils invitent tous les citoyens motivés à le faire avec eux.
Retrouver toutes les marches recensées en France sur le site marchepourlessciences.fr
http:lefigaro.fr/sciences/2017/04/22/01008-20170422ARTFIG00004-pourquoi-les-scientifiques-du-monde-entier-descendent-dans-la-rue.php
REAZIONE:LA NUOVA ERA CHE PRECONIZA UNA VISIONE DEL MONDO SCIENTIFICA A SE STANTE SI SENTE CONVOCATA E DICHIARA LA SUA SUPREMAZIA SULLA TECNOLOGIA E L'IGNORANZA.
-IL GIORNO DOPO:SU LE MONDE
lemonde.fr
En colère contre la défiance de l’administration Trump vis-à-vis de leur discipline, les scientifiques ont donné de la voix samedi dans les rues de la capitale fédérale.
Le Monde | 23.04.2017 à 05h16 • Mis à jour le 23.04.2017 à 05h50 | Par Stéphane Lauer (Washington, envoyé spécial)
Les éléments naturels n’étaient forcément favorables, mais, malgré une pluie fine et pénétrante, La Marche pour la science, dont Washington était l’épicentre, samedi 22 avril, a réussi à mobiliser plusieurs dizaines de milliers de manifestants. Ce mouvement, qui a également donné lieu à plusieurs centaines de cortèges aux États-Unis mais aussi à travers le monde coïncidait avec le jour de la Terre, visait à rappeler le rôle essentiel que la science joue dans la société.
Les scientifiques ont ainsi voulu se rappeler au bon souvenir de Donald Trump, alors que depuis l’arrivée au pouvoir de ce dernier ils se sentent mal traités. Coupes claires dans les budgets publics, nominations contestées au sein de l’agence de l’environnement et au ministère de l’énergie, mépris affiché pour la lutte contre le réchauffement climatique, depuis trois mois, les griefs ne manquent pas.
Une foule de primo- manifestants
Pourtant, pour la plupart des scientifiques, battre le pavé n’allait pas de soi. De fait, pour un certain nombre, il s’agissait d’un baptême du feu. « En tant que scientifique, jusqu’à présent, ce n’était vraiment pas dans mes habitudes de descendre dans la rue, confie Rob Maxson, un spécialiste en biochimie et biologie moléculaire à l’University of southern California à Los Angeles, qui avait fait le déplacement à Washington. Je ne suis pas très à l’aise avec le fait de mélanger la science avec la politique, mais la situation a été politisée à notre insu et nous devons absolument faire quelque chose pour convaincre les gens que ce qui est en train de se passer est grave », affirme-t-il.
Même réaction chez Rosana Coffey, une chercheuse dans le domaine des politiques de santé aujourd’hui à la retraite. « La première fois de toute ma vie que je suis allée manifester, c’était pour la Marche des femmes, en janvier. Quand j’ai entendu parler de la Marche pour la science, je me suis dit qu’il fallait à nouveau y aller », explique-t-elle.
« Ce qui est intéressant, c’est que l’on voit des scientifiques qui commencent à se lancer dans la politique en songeant à se présenter au Congrès, tout simplement parce que leur voix n’est plus entendue », remarque Tim Stranges, lui aussi retraité après une carrière dans les ressources humaines.
En revanche, certains chercheurs, comme Robert Young, géologiste à la Western Carolina University, restent sceptiques sur l’efficacité du message envoyé par les manifestants. Il craint notamment que ce type d’initiative ne fasse que creuser le fossé entre la communauté scientifique et le pouvoir politique. « Aller manifester est facile. Consacrer les deux prochaines années à réinventer la façon de communiquer avec l’Amérique conservatrice, voilà qui est difficile », expliquait-il récemment dans un point de vue publié par le New York Times.
« Criminel »
Pour d’autres, en revanche, il faut aller plus loin. « Ce genre de marche fait du bien aux gens, ils se sentent mieux, mais ce n’est pas vraiment la réponse qui va inverser le cours de ce qui est en train de se passer dans ce pays. Il est temps de canaliser toute la colère qu’on peut voir aujourd’hui pour peser sur les prochaines élections », estime Katherine Yih, spécialiste en épidémiologie à la Harvard Medical school (Massachusetts).
De son côté, Donald Trump, principale cible des slogans et des pancartes brandies par les manifestants samedi, a tenté de se justifier. « Une science rigoureuse est essentielle aux efforts de mon administration pour accomplir le double objectif de la croissance économique et de la protection environnementale (…) en réduisant les fardeaux pesant sur les travailleurs et les firmes américaines », a déclaré le président américain dans un communiqué publié samedi. « Mon administration est attachée à l’avancement de la recherche scientifique qui permet une meilleure compréhension de notre environnement et des risques environnementaux », a-t-il toutefois ajouté.
Des propos qui n’ont pas réussi à calmer la colère de M. Maxson : « Je suis scientifique depuis 40 ans et je n’ai jamais rien vu de tel. Cette défiance vis-à-vis de la science, en particulier dans le domaine du changement climatique est quelque chose de criminel, explique-t-il en faisant référence aux déclarations de M.Trump, qui avait considéré que le réchauffement de la planète était un canular monté par la Chine pour asseoir sa domination économique. Ce que le gouvernement actuel est en train de faire s’apparente à un vol vis-à-vis de la planète et des générations futures. Un petit nombre de gens proches du président s’apprêtent à se remplir les poches grâce aux mesures qui sont en train d’être prises. »
« Mépriser la science, c’est passer à côté de l’essentiel »
Au cœur des récriminations également, les coupes budgétaires. Moins 18 % pour l’Institut national de la santé ou encore moins 31 % pour l’agence de l’environnement (EPA). « Le gouvernement est sur le point de supprimer le financement d’un satellite météo qui est essentiel à la compréhension du phénomène des précipitations, explique Joseph Galante, un ingénieur météo de Washington. Qu’on soit républicain ou démocrate, qu’on soit américain ou européen, tout le monde va profiter des informations que ce satellite pourrait fournir, cela n’a rien à voir avec la politique ».
Les inquiétudes dépassent largement le cercle restreint de la communauté scientifique. Josh Helke, patron d’une entreprise de 60 personnes en Pennsylvanie, craint que ce climat de défiance vis-à-vis de la science finisse par avoir un impact sur ses affaires. « Les produits que nous fabriquons sont très techniques, nous sommes bien placés pour savoir que l’innovation est au cœur de tout. L’économie est sous-tendue par la recherche et l’éducation, mépriser la science comme c’est le cas actuellement, c’est simplement passer à côté de l’essentiel », estime-t-il.
Lire aussi : Marches pour les sciences : « Des idées construites valent mieux que les idées reçues »
Pour Rob Maxson, tourner le dos à la science, c’est prendre le risque du déclassement. « Moi j’ai grandi au moment du lancement de Spoutnik par l’Union soviétique, lorsque l’Amérique a réalisé qu’elle devait reprendre le leadership scientifique. Cet épisode a joué un grand rôle dans mon envie de devenir moi-même scientifique, parce qu’à l’époque la science était respectée et était très importante pour la nation. Aujourd’hui nous sommes en train de perdre de vue cela ».
http:lemonde.fr/sciences/article/2017/04/23/marche-pour-la-science-a-washington-ce-qui-est-en-train-de-se-passer-est-grave_5115731_1650684.html
REAZIONE:
1-LA NUOVA ERA NON FA POLITICA MA LA POLITICA SI FA NUOVA ERA ED E' QUESTO IL MOTIVO DELLE MIE INCURSIONI IN OPINIONI POLITICHE SENZA MAI CADERE NEL PROSELITSMO E IL PARTITISMO.
2-HO DECISO OCCUPARMI DI QUESTI MANIFESTAZIONI PERCHE COINCIDE CON LE MIE PREDICHE.NO LO AVREI FATTO SOLO PER L'AMBIENTALISMO DOVE IN PARTE CONDIVIDO LE OPINIONI SOPRA ESPRESSI MA LA DISCRIMINAZIONE DELLA SCIENZA VA PIU IN LA DEL CLIMA.PER QUANTO RIGUARDA A QUESTO SONO DI ACCORDO CHE C'E' STATO PER PARTE DI OBAMA UNA SOPRASTIMAZIONE POLITICA DELL'AMBIENTALISMO E LE ENERGIE RINNOVABILE,SONO STATO L'UNICO A DENUNCIARE LA MANOVRA POLITICA ANTI-OCCIDENTALE DELLA CINA CHE HA MUTATO L'INIZIALE APPROCCIO VERSO LA NUOVA ERA,MA LA CORREZIONI DI QUESTI FATTORI NON DEVE FARSI SOPRA LA PELLE DELLA SCIENZA E IL SUO PENSIERO MA COMBATTENDO LE SPINTE NEOLIBERALI SIANO DELLA CINA O DEI SUOI "LAVORATORI",NON CONFONDENDO IMPRENDITORIALITA,CON INDUSTRIOSITA O PRODUTTIVITA O CON IL DENARO E LUCRO SPECULATIVO.
3-NESSUNA INTENZIONE DI CREARE RIVALITA FRA TECNOLOGIA E SCENZIA SOLO SOTTOLINEARE LA SUPREMAZIA DEL PENSIERO SCENTIFICO E LA SUBALTERNITA E DIPENDENZA DI QUELLA.UN ERRORE CHE HA COMMESSO LA UNIONE SOVIETICA IN NOME DEL LAVORO E I LAVORATORI E HA PAGATO CON ARRETRATEZZA.LA URSS HA VINTO LA CORSA SPAZIALE E TENUTO SU QUELLA DELL'INDUSTRIA DEGLI ARMAMENTI DOVUTO AI BRUTTALI PRIVILEGGI DELLA MACHINARIA STATALE PERO HA PERSO QUELLA DEL PROGRESSO E LO SVILUPPO DELLA SUA MASSA DI OPERAI E POPOLAZIONE IN GENERE NON SOLO PER LA MANCANZA DI STIMOLO DELLA SUA IDEOLOGIA MA SOPRATUTTO A MANO DELLA TRADIZIONALE SUPREMAZIA E TECNOLOGIA OCCIDENTALE.
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23 APRILE 2017,21:00 ora italiana:ELEZIONI FRANCESI,HA PERSO LA LE PEN AL PRIMO TURNO,HA VINTO MACRON 23 % MACRON 21 % LE PEN LO HO ANNUNCIATO UN TEMPO FA,ANCORA UNA VOLTA HANNO FALLITO I SONAGGI.BLUFF DEL FRONTE NAZIONALE .
-Ora 22:30:cresce il vantaggio di Macron,23,90 Al secondo turno se ci fosse prenderebbe il 62% Vittoria
-SU LE MONDE A SCRUTINIO FINITO:HA VINTO MACRON
Présidentielle 2017 : ce qu’il faut retenir du premier tour, des résultats aux réactions 46
Le candidat d’En marche ! arrive en tête du scrutin, suivi par la candidate du Front national.
Emmanuel Macron (En marche !) est arrivé en tête du premier tour avec près de 24% des voix. Marine Le Pen (FN) est la deuxième qualifiée.
Manuel Valls, Cécile Duflot et Bernard Cazeneuve ont également appelé à voter pour l’ancien ministre de l’économie.
Le scrutin est marqué par l’éviction des deux partis de gouvernement historiques.
Présidentielle : cris de joie chez Macron, larmes chez Mélenchon et Hamon Portfolio
Emmanuel Macron et Marine Le Pen, deux programmes que presque tout oppose 7
Au QG de Dupont-Aignan : « C’est incroyable, nous avons presque fait jeu égal avec le PS »
Juppé, Fillon, Baroin, Raffarin, Estrosi : des personnalités de droite appellent à voter Macron 14
Les leçons d’un premier tour historique 112
Présidentielle 2017 : les dirigeants européens unis derrière Emmanuel Macro
http:lemonde.fr/
REAZIONE:HA VINTO MACRON!!
LA SCONFITTA AL PRIMO TURNO DELLA LE PEN E' LA NOTIZIA PRINCIPALE DI QUESTE ELEZIONI,ED E' UNA SCONFITTA ECLATTANTE.ADESSO NON CI SONO PIU POSSIBILLITA PER IL FRONTE NAZIONALE.IL PROBLEMA LE PEN, CHE NON C'E' MAI STATO,E' RISOLTO.IL SECONDO TURNO SRA UNA PASSEGGIATA PER MACRON CHE PRENDERA IL 62%.
LA SCONFITTA DELLA LE PEN E' LASCONFITTA DI UNA APPARECCHIATURA PROPAGANDISTICA,UN POTENTE SISTEMA PROPAGANDISTICO PERCHE LA LE PEN NEI FATTI NON HA MAI AVUTO POSSIBILITA MA CI HANNO BOMBARDATO CON I SONDAGGI CHE LA DAVANO VINCENTE AL PRIMO TURNO E SCONFITTA,SOLO CONTRO TUTTI E AL BALLOTAGGIO.NON E' SUCCESSO CIO CHE MAI HO CREDUTO SUCCEDESSI E VI RACCONTO IL PERCHE:2 ANNI FA ALLE REGIONALI IL GOVERNO SOCIALISTA DI HOLLANDE ARRIVAVA SENZA FIATO,COME TUTTI I GOVERNI DEMOCRATICI DOPO UN PERIODO AVEVA SOFFERTO L'ABITUALE DETERIORO DI IMMAGINE.E LA LE PEN DICEVA CHE AVREBBE VINTO UN NUMERO GRANDE DI REGIONI.SOLO PROPAGANDA NON HA VINTO NE MENO UN GOVERNO DI UNA SOLA REGIONE.SARKOZY E I REPUBBLICANI APOGGIATI DAL PARTITO SOCIALISTA HANNO FATTO IL PIENONE.E LA LE PEN ASSICURAVA A DESTRA E A MANCA CHE ERA STATO UN BANCO DI PROVA PER LE PRESIDENZZIALI DA DOVE ERA USCITA VITTORIOSA E CHE LA PIAZZAVANO COME FUTURA PRESIDENTE.E QUESTO RITORNELLO LO ABBIAMO SENTITO URBI ET ORBI DIFFUSO DALLA SUA POTENTE MACCHINARIA PROPAGANDISTICA FINO A IERI.IO,NON CI HO MAI CREDUTO,E OGGI SAPPIAMO CHE LE MIE PREDICHE DIVENTARONO LA VERITA:IL PROBLEMA LE PEN HA FINITO,E' RISOLTO.IL PARTITO SOCIALISTA EBBE ELEZIONI INTERNI E SI RINNOVO,VENI FUORI IL CENTRISTA-LIBERALE MACRON E NON IL SUO VINCITORE.IL PARTITO REPUBBLICANO EBBE ANCHE INTERNE ,SARKOZY FU SFRATTAO E FILLON IL SUO CANDIDATO NON HA VINTO.
I DUE PARTI TRADIZIONALI,SOCIALISTI E REPUBBLICANI ANCHE SE CON CIFRE POCO DISTANTI A MACRON E LE PEN,19 E 19 CONTRO 24 DI MACRON E 21 DI LA LE PEN,SONO STATI SCONFITTI UNA VOLTA IN PIU A MANO DEL OUT SIDER LIBERALE MACRON,L'UNICO VINCITORE E FUTURO PRESIDENTE DELLA FRANCIA:IN BOCCA AL LUPO,RUN OUT....... [youtube https://www.youtube.com/watch?v=v8Hw6yAaeBw&w=560&h=315]
PD:NON E' UN DUELO PER L'UE,FRA EUROPEISTI E EUROSCETTICI PERCHE DI QUESTI ULTIMI CI SONO ANCHE TRANSVERSALMENTE IN TUTTI GLI ALTRI PARTITI OLTRE A QUELLO DELLA LE PEN,CHE INOLTRE HA SUBITO L'ATTACO DI ALTRI EUROSCETTICI NEL PARLAMENTO EUROPEO:NON HO DUBBI CHE PRIMA DEL SECONDO TURNO SARA PORTATA PER LA FORZA PUBBLICA DALLA POLIZIA E DAL GIUDICE DOPO CHE SIA SFORATA AL PARLAMENTO EUROPEO. [youtube https://www.youtube.com/watch?v=-oUo80SSnoc&w=560&h=315]
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24 APRIE 2017:INUTILE PROVOCAZIONE NAPOLITANA CHE HA PRODOTTO CONSEGUENZE
-SU LA REPUBBLICA:
"Abbiamo liberato Pontida dalla schiavitù!", l'orgoglio terrone invade il pratone della Lega
Guerra di cifre sui partecipanti: gli organizzatori dicono 3mila, per la questura sono la metà. Tanti slogan e t-shirt per il concertone dei centri sociali arrivati non solo dal Sud. Nessun problema per l'ordine pubblico
dal nostro inviato PAOLO BERIZZI
Navigazione per la galleria fotografica,1 di 2,SlideshowApplausi e slogan: "Vaffanculo ai razzisti", grida un esponente di Insurgencia dal palco. Ci sono i centri sociali di Torino, Trento, Venezia, Milano, Bologna, Vicenza. Sul numero dei partecipanti, al solito, c'è un balletto di cifre: 3mila secondo gli organizzatori, 1.500 secondo fonti della questura. Il festival antirazzista andrà avanti fino alle 20.30 ed è probabile che il numero di manifestanti cresca durante il pomeriggio. Chi dal giorno dell'orgoglio terrone si aspettava tensioni e atti vandalici, per ora ha dovuto ricredersi. Nessun problema per l'ordine pubblico. Nessuna protesta visibile da parte della popolazione. Anzi: da una casa a ridosso del prato un abitante è uscito sul terrazzo e ha applaudito.
L'altro pratone, quello leghista là in fondo, è presidiato da due giorni dalle forze dell'ordine: nessuno ci si è nemmeno avvicinato. Cancellata da militanti leghisti la scritta verde "padroni a casa nostra" che da anni campeggia sul muro di cinta che chiude il pratone, qualcuno ieri era riuscito a sostitirla con un "Salvini=duce". Ma anche questa scritta è stata rimossa.
corriere.it
IL REFERENDUM
Milano, 21 aprile 2017 - 23:11
Il governatore: Dopo la vittoria andrò a Roma. Con Zaia potere contrattuale formidabile
«Il giorno dopo la vittoria del referendum, io e Luca Zaia saremo a Roma. Per chiedere di rispettare la volontà popolare, che conta molto più di quella dei premier o dei governatori». Roberto Maroni, d’intesa con il governatore del Veneto, ha annunciato la data per il referendum sulle autonomie delle due regioni: il 22 ottobre.
Presidente, che cosa succederà il giorno dopo? «Io e Zaia andremo a Palazzo Chigi con un potere contrattuale formidabile. Un potere che ci consentirà di portare finalmente a casa i risultati che aspettiamo da tanto tempo».
Il referendum è consultivo. E se l’affluenza fosse deludente? «Dobbiamo spiegare bene a tutti quello che ho appena detto: con il potere invincibile che viene dai lombardi e dai veneti insieme, la svolta può finalmente arrivare. Le due Regioni non potranno essere ignorate».
Nel concreto, lei che cosa chiederà al governo? «Il mio obiettivo è quello di mantenere in Lombardia la metà del residuo fiscale che oggi prende la strada di Roma. In soldoni, potrebbero essere oltre 25 miliardi all’anno. Oggi la differenza tra le tasse pagate dai Lombardi e quello che ritorna sul territorio è di 53 miliardi».
Francamente, governatore: 25 miliardi. Non le pare un po’ irrealistico? «Sarebbe irrealistico se chiedessi di mantenere in Lombardia l’intero residuo fiscale. Se chiedessi per la Lombardia quel che da sempre vale per la Sicilia. È chiedere troppo il ritorno della metà di quanto si versa?».
I temi delle autonomie sono ancora al centro degli interessi dei lombardi? «Io penso proprio di sì. Credo che nemmeno un lombardo, fuorché qualche matto, potrebbe dire no al mantenere le risorse là dove vengono generate. Questo è il compimento di un sogno di decenni e mi ha fatto molto piacere che Bossi abbia detto che il referendum sia il frutto di un lungo lavoro e di una lunga lotta. E credo che possa essere un fatto politico molto rilevante: mai si era fatta una cosa del genere».
Quali conseguenza politiche immagina? «Tenga conto che in Lombardia i 5 Stelle si sono detti favorevoli alla consultazione, mentre in Veneto è addirittura il Pd che si dice d’accordo. Non dico che il referendum disegni nuove alleanze, ma di certo entra a gamba tesa nel sistema italiani e costringe ciascuno a prendere posizione: nel Pd si apre una contraddizione, i grillini saranno costretti a fare le scelte che fin qui non hanno mai voluto fare. Per non parlare del centrodestra».
Parliamone, invece... «Ora è presto, siamo semplicemente al riscaldamento. La partita vera incomincia l’8 maggio».
Perché l’8 maggio? Il ballottaggio in Francia? «Non solo. Le elezioni francesi contano perché è chiaro che se vince o perde la Le Pen il rapporto tra Lega e Forza Italia cambia. Ma l’8 maggio c’è anche l’assemblea nazionale del Pd. E cambia molto se Renzi avrà vinto con l’80 o con il 52. Nel primo caso spingerà per elezioni a ottobre, in caso contrario si andrà alla primavera 2018. E se si vota l’anno prossimo, allora è anche possibile che la legge elettorale cambi… Anche per questo il referendum è così importante».
La Lega è in fase congressuale, Salvini e Fava si sfidano per la leadership. Lei chi sceglie? «Ovviamente ho sentito tutti e due e a entrambi ho detto la stessa cosa. E cioé, che bisogna assolutamente evitare che il confronto diventi una guerra. A Salvini ho anche detto che una candidatura in senso nordista può persino essere d’aiuto nell’espansione a Sud, perché fornisce una compensazione interna e una valvola di sfogo per il militanti più tradizionali. Si faccia gioco di squadra. Come quando Bossi mi mandò a trattare con Mario Segni e il giorno dopo stracciò l‘accordo. Io non me la presi: era il gioco di una squadra».
21 aprile 2017 (modifica il 22 aprile 2017 | 13:02)
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http:corriere.it/politica/17_aprile_22/maroni-chiedero-trattenere-qui-053d7c74-26d1-11e7-b6b1-a150ed5c16fd.shtml
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=xLyM5dBUSR0&w=560&h=315] [youtube https://www.youtube.com/watch?v=lVGjX5f6Z5E&w=560&h=315] [youtube https://www.youtube.com/watch?v=s_OsCiKIaOU&w=560&h=315]
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25 APRILE 2017:CRIMINI CONTRO L'UMANITA,FINALMENTE LA CPI AGISCE
-SU LE MONDElemonde.fr
La Cour pénale internationale a décidé de rendre public, lundi, le mandat délivré en 2013.
La Cour pénale internationale (CPI) a rendu public, lundi 24 avril, un mandat d’arrêt lancé contre l’ex-chef de la sécurité du défunt leader libyen Mouammar Kadhafi, l’accusant de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité lors du soulèvement contre le régime en 2011.
Le mandat, qui date de 2013 mais était scellé, accuse Al-Touhami Khaled de quatre chefs de crimes contre l’humanité (emprisonnement, torture, persécution et autres actes inhumains) et de trois chefs de crimes de guerre (torture, traitements cruels et atteintes à la dignité de la personne) qui auraient été commis entre février et août 2011, « afin d’écraser par tous les moyens l’opposition politique au régime de Kadhafi », selon le mandat de la Cour, basée à La Haye.
« Des passages à tabac »
Dans un communiqué, la Cour justifie la décision de lever les scellés sur le mandat en estimant que cela « pourrait faciliter l’arrestation et la remise [de l’accusé] car tous les Etats seraient conscients de son existence ». Les tribunaux internationaux estiment parfois, au contraire, qu’il est plus efficace pour arrêter un suspect de garder le mandat d’arrêt secret afin de ne pas éveiller ses soupçons.
A l’époque, le régime de Mouammar Kadhafi fait face à un soulèvement qu’il réprime dans le sang. Al-Touhami Khaled est alors chef de l’« organe de sécurité intérieure » et il est chargé « d’exécuter les ordres de Kadhafi », selon le mandat. Les personnes incarcérées dans différents lieux de détention à travers la Libye « sont soumises à diverses formes de mauvais traitements, dont des passages à tabac, des chocs électriques, des actes de violence sexuelle, des viols », détaille encore la CPI.
La Libye, « une priorité »
Un autre haut responsable du régime Kadhafi, l’ex-chef des renseignements Abdallah Al-Senoussi, est lui aussi accusé de crimes contre l’humanité. Mais la CPI qui est le seul tribunal pénal international permanent chargé de poursuivre les plus hauts responsables de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre, a accepté en octobre 2013 qu’il soit jugé en Libye.
Pour l’heure, aucun responsable des atrocités commises en Libye n’a encore été jugé. Mais Fatou Bensouda, la procureure de la CPI, a affirmé au Conseil de sécurité des Nations unies en novembre dernier qu’elle ferait de la Libye « une priorité » en 2017 et qu’elle envisageait « de déterminer des charges pour de graves activités criminelles », ce qui pourrait « inclure les crimes présumés commis » par le groupe Etat islamique.
http:lemonde.fr/afrique/article/2017/04/24/libye-un-mandat-d-arret-vise-l-ex-chef-de-la-securite-de-mouammar-kadhafi_5116793_3212.html
REAZIONE:SI STA FACENDO LUCE SUI FATTI DI ALLORA.RACCOMANDEREI ANCHE DI METTERE LE BARBE A SCIAQUARE A BERLUSCONI,BOSSI,MARONI E FRATTINI ALLORA ALLEATI DI KADAFHY(PERFINO LI DAVANO MANDATO SULLE NOSTRE UNITA NAVALI MILITARI SUL MEDITERRANEO A SCOPO DI ARRESTARE I BARCONI DI MIGRANTI CLANDESTINI)
E NIENTE UNITA(LARGHE INTESE) IN LIBIA.MALGRADO LA MOGHERINI,RENZI,BERLUSCONI E GLI ALTRI COMPRESO L'ENVIATO ONU.
E NIENTE EFETTO DIVERSIVO GUALTIERI-MALVINAS IN LIBIA:I PROBLEMI INTERNI DEGLI ITALIANI ED EUROPEI LE RISOLVIAMO NOI,PADRONI A CASA NOSTRA. [youtube https://www.youtube.com/watch?v=O2Xtq_0T38w&w=560&h=315] [youtube https://www.youtube.com/watch?v=wlu1zrqfffM&w=560&h=315] [youtube https://www.youtube.com/watch?v=Yy39x7ppGas&w=560&h=315] PD:E RENZI,CHE IL SUO PERIODO SI LA HA PASSATO VIAGGIANDO ALL'ESTERO INSISTE CON IMPODERARE I PAESI AFRICANI PER RISOLVERE L'IMMIGRAZIONE CLANDESTINA NELLA VIA LIBICA,VOI VEDERE CHE VA A FINIRE CHE METTIAMO LA GESTIONE DELLA POLITICA IMMIGRATORIA NEL MEDITERRANEO NELLE MANI DI BOKO-HARAM(COME HA FATTO LA GERMANIA CON ERDOGAN DALTRONDE PER L'IMMIGRAZIONE SIRIANA NELLA VIA DEI BALCANI)?.O MAGARI FACENDO RITORNARE OBAMA CHE HA APOGGIATO QUESTA SOLUZIONE PER VIA DELL'ONU:TANTO IN AMERICA C'E' CHI SVENTOLA LO SPAURACCHIO DELL'IMPECHMENT DI TRUMP?:L'UNITA VOGLIAMO ANCORA!!!! [youtube https://www.youtube.com/watch?v=cuv5MBLm8MM&w=560&h=315]